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allergie aux chats

On considère que 3% de la population française est allergique aux animaux domestiques, particulièrement aux chats, chiens, et chevaux.

L’allergie, phénomène complexe, peut se définir comme une réaction excessive de l’organisme en réponse  à une substance qui lui est étrangère. Lorsque l'organisme est en contact avec cette substance (nommée allergène), il produit des anticorps particuliers aux allergiques (IgE) qui vont reconnaître l’allergène à chaque fois qu’il pénètre dans l’organisme et déclencher la maladie allergique.
La réaction allergique peut se manifester de différentes manières : par des troubles respiratoires (rhinite, asthme) ou par des troubles cutanés (eczéma, urticaire).

Les animaux domestiques à poils peuvent être responsables de manifestations allergiques qui concernent :

  • le nez (rhinite allergique) : 
  • perturbation du sommeil,
  • fatigue permanente,
  • gêne dans le travail,
  • limitation des activités extra scolaire et sportive,
  • altération du goût et de l’odorat.
  • les bronches (asthme) : l’asthme est la principale complication de la rhinite allergique. Il est admis que 70 % des asthmatiques ont débuté par une rhinite allergique et 50 % des patients atteints de rhinite allergique ont des symptômes d’asthme.
  • la peau (eczéma, urticaire) : une réaction allergique peut également se manifester, outre par des troubles respiratoires (rhinite et asthme), par des troubles cutanés (eczéma, urticaire).
Qu'est-ce qui provoque l'allergie chez le chat ?

Plusieurs parcelles protéiniques du chat sont impliquées dans l’allergie. La glycoprotéine, appelée Fed d1, est un allergène majeur, plus de 80% des patients allergiques au chat présentaient des IgE dirigées contre cette molécule.
L'immunoglobuline E (IgE) est une classe d'anticorps (isotype) présente uniquement chez les mammifères (découverte et caractérisée par Kimishige Ishizaka - Prix Japonais de l'an 2000). Les IgE peuvent déclencher de rares réactions sévères de type allergiques immunitaires. La connaissance de cette classe d'anticorps provient principalement des recherches sur les mécanismes de certaines allergies ainsi que sur le système immunitaire anti-parasites.

Où la glycoprotéine est-elle située chez le chat ?
La glycoprotéine est présente principalement dans :
  • Les glandes salivaires. Les chats aiment particulièrement lécher et donc par voie de conséquence déposer de la salive... Évitez, à priori, de vous faire abondamment lécher si vous êtes allergique !
  • Les glandes lacrymales. Ce sont les glandes qui sécrètent des larmes. Les larmes ne sont pas des liquides qui sortent pour manifester du chagrin mais des gouttes d'eau salée qui nettoient et protègent l'œil en le maintenant en permanence humide. Les larmes peuvent aussi sortir par les conduits nasaux, c'est à dire par le nez. Outre le fait que les larmes servent aussi à chasser les saletés qui se placent parfois sur les yeux,  elle contiennent des substances bactéricides (qui assurent la protection de l'œil contre des bactéries). Donc éviter les ventilateurs qui véhiculent des impuretés dans l'air et font davantage pleurer les chats, particulièrement si vous êtes allergique !
  • Les glandes anales. Ces dernières se libèrent notamment en cas de stress chez le chat. Évitez donc le stress de votre chat particulièrement si vous êtes allergique !
  • Les glandes sébacées. Ce sont des glandes sous les poils, un peu comme des réservoirs où les poils seraient les tuyaux d'évacuation. Elles ont un rôle protecteur par le sébum et un rôle dans la communication phéromonale. Concernant le rôle protecteur du sébum (qui donne l'aspect lustrant du pelage), il imperméabilise, il évite sa déshydratation et joue un rôle dans la thermorégulation, et enfin il protège chimiquement et bactériologiquement. Il est difficile d'associer la sécrétion phéromonale d'une glande à une réponse comportementale d'un congénère car les composants, qu'ils soient sécrétés, synthétisés ou dégradés, se mélangent sur la peau de l'animal. Chez une chatte, par exemple, outre les odeurs des glandes sébacées diffusées par les poils, les mouvements de la queue mélangent les sécrétions des glandes anales, les phéromones urinaires et celles des sécrétions vaginales pour produire l'odeur qui excite les mâles. Le mâle va alors relever la lèvre supérieure et ouvrir partiellement la gueule pour inspirer par la bouche, le tout accompagné de rapides mouvements de la langue. Ceci a pour rôle de fermer les narines pour que l'inspiration se fasse par la bouche. Les phéromones sont aspirées de la sorte à travers la papille incisive (derrière les de la mâchoire supérieure) dans l'organe voméronasal. Ce comportement particulier se nomme le flehmen (lip curl en anglais), il permet l'accès privilégié des phéromones aux récepteurs olfactifs de l'organe voméronasal. L'organe voméronasal possède des neurorécepteurs fonctionnels qui vont activer la fonction reproductrice ... Voilà en gros comment ça se passe pour la petite histoire en résumé rapide de la conception de la molécule odorante à sa réception par les neurorécepteurs olfactifs mais ce n'est pas le sujet de la présente page !
  • Les squames de l'animal.  Ce sont les morceau de peau morte qui se détachent de l'épiderme, aussi nommés pellicules.  Les squames d’un chat ne sont pas faciles à s'en débarrasser car elles sont légères, ne pèsent presque rien, ces particules peuvent rester suspendues dans l’air pendant des heures et pour couronner le tout elles sont collantes. Une fausse idée malheureusement répandue  consiste à filtrer l’air. En effet, ceci revient à disperser les allergènes en suspension, et augmente donc d'autant leur quantité qui circule dans l’air. Une vrai bonne idée consiste à laver son chat. Les muscles pilo-érecteurs, dont la contraction soulève le poil en provoquant ladite horripilation s'activent lorsqu'un chat a peur ou est en situation de danger. Le hérissement des poils créant une illusion d’optique qui a pour effet d’augmenter la taille du chat en le faisant paraître beaucoup plus terrifiant. Il a aussi pour effet d'immédiatement diffuser moult squames. Pour les personnes allergiques : faites en sorte que votre Korat n'ai pas peur !

Pourquoi certains Korats sont moins allergisants ?
Tout d'abord il convient de considérer le pelage félin.

La fourrure des chats est grosso modo composée de poils de couverture (40 à 80 microns selon les races, pour le Korat ils sont petits), de sous-poils et de poils duveteux (10 à 35 microns). Grosso modo car il y a aussi les poils de barbe, poils secondaires ou encore poils de garde, les poils intermédiaires ou hétérotypes, les poils tactiles, les vibrisses (moustaches), les poils tylotriches...
Plus il y a de poils, plus les squasmes sont diffusées, plus les chats sont allergisants. Non seulement les Korats ont des poils fins et courts, réduisant ainsi la diffusion, mais en plus ils semblent ne pas en perdre. Ils semblent car bien entendu ils muent en bons félins ! Donc moins de bouts de poils disséminés (il est très rare d'obtenir une touffe de poils de Korat contrairement aux autres races). Ceci d'autant que la race Korat est la seule et unique race à ne posséder qu'une robe simple totalement dépourvue de sous-poil. Des races ont des sous-poil réduits, peu fourni, ou encore très courts. Mais hormis la race Sphinx à la robe presque sans poils (ni jarres, ni barbes, juste un duvet et quelques poils clairsemés), seule la race Korat possède une robe simple aux poils extrêmement fins et courts sans aucun sous-poils.

  1. Premier argument donc la race : une race de chat qui ne perd peu ou proue ses rares poils courts et ne possède qu'une robe simple dépourvue de sous-poils.
  2. Second argument la lignée : certaines lignées ont moins de glycoprotéine (Fed d1). Il existe deux types de tests à pratiquer : par les laboratoires et par les statistiques constatées sur une lignée avec des cobayes testeurs, soit des personnes allergiques. C'est le cas des Korats âprement sélectionnés par l'élevage à l'affixe Amour Korat grâce à de nombreuses personnes allergiques se prêtant aux tests depuis des années.
  3. Troisième argument le professionnalisme de l'éleveur : certains chats supportent sans problème le fait d’être mouillés. Voir apprécient l'eau comme il est aisé de constater sur les témoignages de propriétaires de Korats à l'affixe Amour Korat. Ceci est dû à l'habitude prise lors des premières semaines, induite par l'expérience de l'éleveur qui maîtrise ceci (il ne suffit surtout pas de laver régulièrement les chatons, pratique cliniquement dangereuse et psychologiquement retardatrice d'une bonne socialisation, ceci pour les éleveurs en herbe ...). C'est très important pour les personnes allergiques qui doivent parfois laver leur chat en période de mue. Voir une vidéo amusante à ce propos : clic ici. En effet, de nombreux chats ne peuvent être lavés que sous anesthésie générale ... Enfin, une multitude de petits détails d'élevage comme par exemple le choix des brosses utilisées depuis la naissance : les soies naturelles sont par exemple préférables aux fibres synthétiques qui, en produisant de l’électricité statique, rendent les poils cassants. Le but pour les personnes allergiques n'est pas d'avoir un futur chat aux poils de type cassants qui se déposeraient en petits bouts un peu partout ...
La production des allergènes, régulée de manière hormonale, amène à penser qu'il faut éviter les chats mâles non castrés pour les personnes allergiques, ces derniers étant plus allergisants. Ces derniers produisant plus de Fel d1. Le choix du sexe n'a donc aucun intérêt pour une personne allergique pour peu que si c'est un mâle, il faudra le faire castrer à la fin de sa puberté. Le faire avant n'est pas conseillé, il ne produira pas alors plus de Fel d1 sans parler des techniques de castration ou stérilisation précoce qui bloquent toutes irrémédiablement tout bon développement.

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Pour plus d'informations sur les poils : lire ci-dessous.

Concernant la classification des poils
On distingue des poils primaires (synthétisés par des follicules primaires) et des poils secondaires (synthétisés par des follicules secondaires). Les poils primaires émergent par un pore indépendant alors que les poils secondaires émergent par un pore commun. Dans les races à poils courts, les poils primaires mesurent en moyenne 4.5 cm de long, alors que dans les races à poils longs, ces poils mesurent jusqu’à 15 centimètres. Le phénotype court est le phénotype sauvage (L), dominant par rapport au phénotype poil long (l).  Il existe quelques exceptions : pour la race Rex une mutation provoque la formation de poils incurvés et tordus. Chez le Devon les poils primaires sont semblables aux poils secondaires alors que chez le Cornish, les poils primaires sont absents ... Il existe des poils spécialisés de deux types : les vibrisses et les poils tylotriches. Les vibrisses sont des poils tactiles très développés. Il s’agit de poils primaires comprenant un sinus sanguin en périphérie de la gaine épithéliale externe, limité par des travées conjonctives comportant des plexus sensoriels non myélinisés. Ces poils sont retrouvés sur les joues, les paupières supérieures, les lèvres supérieures et les carpes où ils forment la glande carpale, constituée d’amas de 5 à 6 poils tactiles. Il s’agit de mécanorécepteurs d’adaptation lente. Leur rôle dans la vie du chat est très important (déplacements, vie sociale). Les poils tylotriches sont disséminés sur l’ensemble du pelage, comme chez le chien. Ces poils fonctionnent comme des mécanorécepteurs d’adaptation rapide.

Concernant l'organisation des poils
Les follicules pileux sont chez le chat, comme chez le chien, groupés. On parle d’ »unités » folliculaires, constituées de 2 à 5 follicules primaires pour 5 à 20 follicules secondaires. Au sein d’une unité folliculaire, le nombre de poils primaires et secondaires varie (en général 1 follicule pileux central primaire, entouré de 2 à 5 follicules pileux primaires latéraux plus petits, eux-mêmes entourés de 6 à 12 follicules secondaires). 12 à 20 poils émergent par le même infundibulum. Les poils secondaires sont très développés chez le chat. On compte environ 10 poils secondaires pour un poil primaire sur le dos et 24 poils secondaires pour un poil primaire sur le ventre. Ceci explique la densité pilaire très importante chez le chat: environ 600 à 1800 poils par centimètre carré.

Concernant l'activité des poils
L’activité des follicules est cyclique: on distingue trois phases (croissance ou anagène, intermédiaire ou catagène, repos ou télogène). L’activité de chaque follicule est indépendante de celle de ses voisins, à l’origine d’une mue en mosaïque. La mue n’est pas affectée par la castration, mais dépend de la photopériode et peut-être de la température ambiante.
La croissance maximale des poils est observée à la fin du printemps (environ 3 cm par jour), la croissance minimale pendant l’hiver. Les chats d’extérieur muent deux fois par an (au printemps et à l’automne) alors que les chats d’intérieur muent tout le long de l’année. En été, 30% des poils primaires et 50% des poils secondaires sont en phase télogène, alors qu’en hiver, ces pourcentages atteignent 75 et 90%. Dans certaines races (en particulier Rex), une mue partielle ou complète peut être observée à l’occasion d’une gestation ou d’un œstrus et provoquer une alopécie bilatérale et symétrique physiologique.

Concernant la couleur des poils
Dans l’espèce féline, la couleur de la peau et du pelage est, contrairement au chien, presque exclusivement due à la pigmentation pilaire. En effet, les mélanocytes sont très peu nombreux au niveau de l’épiderme. Ce sont donc les mélanocytes présents dans le bulbe et la gaine épithéliale externe des follicules qui assurent la pigmentation du pelage.
Le pelage tabby est le type basique, sauvage, à partir duquel de très nombreuses variations ont été sélectionnées. La couleur du pelage est complexe, provenant d’au moins deux groupes différents de gènes.
La classification des robes est également complexe :
  • robes simples de couleur uniforme : à poil uniformément coloré ou à poil bicolore (robes lièvre, agouti, grise, zibeline, argentée ou fumée),
  • robes pluricolores.

Les marques du pelage résultant de l’accentuation de la couleur du poil permettent de distinguer plusieurs modèles de robes :
  • marques de forme allongée : robe tabby
  • tigré ou rayé : selon que les anneaux foncés sont plus ou moins larges et plus ou moins régulièrement répartis,
  • marbré : bandes concentriques sur les flancs en ailes de papillons ou en fer à cheval
  • tacheté : les marques sont ovales
  • présence d’un pelage dépigmenté sur le corps surpigmenté sur les extrémités : colourpoint. Cette coloration particulière résulte d’une activité thermodépendante de la tyrosinase.
De nombreuses variations existent en fonction des associations de couleurs. Par exemple, la présence de taches blanches est normalement un défaut en exposition (normalement car moult Korats primés en exposition possèdent des tâches blanches notamment sous le ventre) mais, limitée aux extrémités est la caractéristique de la race Birmane. La couleur calico est obtenue chez les chats écaille en rajoutant des taches blanches. La présence de l’allèle Maltese provoque une dilution de la couleur normale (noir en bleu, orange en crème).
La robe des Korats est tabby (bien que les rayures très apparentes chez les chatons disparaissent vite à la vue), et la couleur est bleue par dilution du noir par l'allèle Maltese ou quelques très rares fois en d'autres couleurs par un gène récessif (ex. les Korats dits bluepoint sont crème aux extrémités bleues).

Concernant le rôle des poils
Le pelage assure de nombreuses fonctions: régulation thermique, protection contre les agressions, perception sensorielle, organe de communication, esthétique, sans oublier la synthèse de la vitamine D par les poils, propre à l’espèce féline.

Concernant l'innervation des poils
Les nerfs efférents du système sympathique innervent les muscles arrecteurs et les cellules myoépithéliales des glandes sudoripares. Des ramifications des nerfs cutanés forment des plexus folliculaires, qui entourent la base des follicules, leur conférant un rôle important de récepteurs tactiles, surtout développé pour les vibrisses et les poils tylotriches.

Concernant Les muscles arrecteurs des poils
Les muscles arrecteurs permettent la piloérection, et participent peut-être à la vidange sébacée. Ils sont très développés dans l’espèce féline, en particulier au niveau de la région dorso-lombaire, du sacrum et de la queue, où leur diamètre est égal à celui du follicule dont ils dépendent. Ils jouent dans cette localisation un rôle important dans la vie sociale du chat.

Concernant le nettoyage et le brossage des poils
Les croyances populaires ayant la vie dure, il est rare que les chats soient shampooinés et lavés. Il est vrai que cet animal manifeste une certaine aversion pour le bain. En conséquence l’entretien du pelage du chat est le plus souvent réduit à sa plus simple expression, ce qui est une erreur. En effet, il procure de nombreux bénéfices :
  • amélioration des rapports homme/animal,
  • facilitation des contacts et de la manipulation,
  • élimination des poils morts (moins de poils sur les moquettes, moins de bourres sur le chat, moins de troubles digestifs),
  • amélioration de la qualité et de l’aspect du pelage,
  • détection précoce d’éventuels troubles dermatologiques,
  • mise en évidence des ectoparasites.

L’entretien du pelage comprend un nettoyage et un brossage régulier.
  • Les shampooings permettent de nettoyer la peau et les poils, et leur redonnent souvent un aspect brillant et lustré. Certains contiennent en outre des substances réhydratantes ou qui reconstituent le film lipidique superficiel. Les shampooings doivent être adaptés à cette espèce. Certains composants des shampoings pour chiens sont toxiques chez le chat et donc à proscrire (goudron, disulfure de sélénium, ammoniums quaternaires, phénols). Avant le shampooing  il est important d’inspecter la surface cutanée à la recherche de lésions dermatologiques. Dans les races à poils longs, les bourres de poils doivent être coupées et un peignage soigneux doit être effectué avant le shampooing, ceci est inutile chez les Korats. Certains chats supportent sans problème le fait d’être mouillés, surtout s’ils ont été habitués jeunes et qu’on évite d’ouvrir brutalement le robinet de douche. Pour d’autres, une anesthésie est nécessaire. Il faut scrupuleusement suivre le mode d’emploi, en particulier respecter les temps d’application. Dans les races à poils longs, il est important d’appliquer le shampooing uniformément d’un mouvement régulier uniquement dans la direction du poil. Le rinçage doit être soigneux et durer plusieurs minutes pour éliminer totalement le produit de la peau et des poils, afin d’éviter une ingestion immédiate par l’animal. L’utilisation de démêlants, souvent nécessaire dans les races à poils longs, est inutile chez les Korats. Le séchage doit être réalisé avec une serviette en frictionnant énergiquement le corps. On peut avoir recours au sèche-cheveux en ayant soin de ne pas trop l’approcher des poils (risque de brûlure).
  • Le brossage est utile dans bien des cas. Il est parfois indispensable (dans les races à poils longs par exemple). Il associe un effet démêlant à une action mécanique, et permet d’éliminer les poils morts et d'accroître la circulation sanguine (stimulation de la pousse). Il faut utiliser un matériel adapté, qui varie en fonction du type de pelage : brosses, peignes ou étrilles en ayant soin de ne pas abîmer la peau.  

Concernant la lutte contre les ectoparasites qui apprécient les poils
La beauté du pelage nécessite également de lutter efficacement contre les ectoparasites : puces, etc. Sur ce point, voir les conseils donnés dans l'espace réservé aux propriétaires de chatons Korat en cliquant ici.

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